Dès les premières lignes, on est saisi par la puissance et le souffle de l'écriture. On ne sort pas indemne de la lecture ce roman fleuve de plus de 500 pages. Cette histoire, qui s'étale de 1908 à 1938, tient tout à la fois de la fresque historique où l'on parle beaucoup de la «boucherie» de la Premier Guerre mondiale (1914-1918), mais aussi du roman d'initiation.
jeudi 27 octobre 2016
PRIX FEMINA 2016
Dès les premières lignes, on est saisi par la puissance et le souffle de l'écriture. On ne sort pas indemne de la lecture ce roman fleuve de plus de 500 pages. Cette histoire, qui s'étale de 1908 à 1938, tient tout à la fois de la fresque historique où l'on parle beaucoup de la «boucherie» de la Premier Guerre mondiale (1914-1918), mais aussi du roman d'initiation.
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